piqure.jpgC’est une question qui n’est visiblement jamais abordée par les médias. Pourtant je constate que la grippe h1n1 est une source de conflit pour les couples avec enfants surtout ceux qui sont séparés.

En effet dans la plupart des cas (sauf exceptions graves) les deux parents jouissent de l’autorité parentale même si l’enfant est en résidence chez le père ou la mère. L’accord des deux parents est donc nécessaire, que dis je, indispensable pour les vaccinations non obligatoires type h1n1.

Le fait est que concernant cette grippe les avis sont très partagés sur l’opportunité de cette vaccination pour des raisons souvent très valables. Avoir mis cette grippe h1n1 sur le même plan que la grippe aviaire qui aurait été autrement plus dangereuse est sûrement une erreur, comme celle de ne pas accepter la vaccination chez le médecin généraliste. Par ailleurs que dire de la précipitation avec laquelle les vaccins ont été développés et le blanc seing qui a été accordé aux laboratoires.
Enfin parmis les arguments que je retiens, il y a celui qui indique que le h1n1 sera l’année prochaine intègré au vaccin saisonnier autrement dit il faudra vacciner ses enfants les prochaines années contre le grippe donc potentiellement pendant 70 ans (et personne n’est capable de dire si cela aura un impact sur leur santé pour un vaccin qui de toute façon ne protège qu’a 50%, et qui n’est efficace qu’après un laps de temps qui aujourd’hui nous fera dépasser le pic de la pandémie !)

Je vous conseille pour vous informer cet excellent article.

Rien n’est simple. D’ailleurs mon ex-épouse reçoit une convocation pour un enfant dont elle n’a pas la résidence et dans ces conditions j’ignore si le centre de vaccination vérifie les deux signatures. Si cela n’est pas le cas l’état français s’expose à des poursuites de parents lésés ou mécontents, c’est certain.

C’est évident cette psychose collective aura un impact négatif sur les couples divorcés ou non. Dommage collatéraux auquels personne n’a pensé ?